Charenton-le-Pont
France
1er Prix (7.000 F)
Olivier
TERRONES
Dan-Alexandre BECKER Enseignants : D. LEDOUXE.A. (Paris Val de Seine) Bois de Vincennes (94)
Chelles
France
2ème
prix ex æquo (4.000 F)
Rahman
ELEZI
Christina RODRIGO DE LA CASE Mathieu SIMONPOLI Julien MINGUI Enseignants : Jean-Claude MANTEUIL (ENSAAMA) Jean-Louis NOUVIAN (E.A. Paris Val de Seine) M. ROSNER (Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris) Chelles (77)
Rueil Malmaison
France
2ème
Prix ex aequo (4.000 F)
Nicolas
SOULABAIL
Stéphane GENIER Enseignants : Jean-Claude MANTEUIL(ENSAAMA) Rueil Malmaison (92)
Charenton-le-Pont
France
3ème
Prix ex æquo (2.500 F)
Mario
Alberto MORENO ROSAS
Juan LOBATO Enseignants : Jean-Louis NOUVIAN (E.A. Paris Val de Seine) Charenton
le Pont(94)
Rueil Malmaison
France
3ème
Prix ex æquo (2.500 F)
Stéphanie
BARDOT-PLOE
Natacha CHEVREAU Enseignants : Jean-Claude MANTEUIL (ENSAAMA) Ecole Normale Supérieure de Cachan Rueil
Malmaison (92)
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Règlement
Conférences Mal voyants, les personnes âgées, mères de famille, les handicapés, ainsi que toute personne portant des paquets, représentant près du quart de la population, n'est pas suffisamment prise en compte dans le traitement des principaux parcours de nos villes. L'adaptation de la ville aux personnes à la mobilité réduite est l'objet du concours d'art urbain 2001, pour apporter des réponses qui prennent en compte les difficultés de déplacement que rencontre toute personne à un moment ou à un autre de son existence. Les aménagements doivent s'intégrer avec discrétion dans l'espace urbain ; ils se traduiront en particulier par le retraitement des parcours ou des circuits les plus fréquentés des villes qui se porteront candidates. En effet, les espaces réservés aux piétons font l'objet depuis de nombreuses années d'une occupation par du mobilier urbain tels que horodateurs, panneaux divers, potelets, grilles de protection, bornes… oÛ/et sont désorganisés par des installations provisoires de chantiers, tels échafaudages, cabines de chantiers, bennes…. Les trottoirs sont souvent rétrécis pour faire place au stationnement des véhicules et empÉchent le croisement de poussettes d'enfant ou la circulation de fauteuils roulants, les sols ainsi que les traversées de voies sont revÉtues de manière ordinaire par du bitume noir quelque soient les lieux ce qui ne facilite pas le balisage des itinéraires. D'une manière générale, malgré l'éclairage, certains progrès réalisés comme les rues piétonnes mises en place depuis les années 70, les principaux parcours de nos villes utilisés par les piétons : tels que sorties d'écoles des quartiers résidentiels, circuits reliant une aire de stationnement à un équipement commercial, ou tout simplement les trottoirs des avenues principales, ne prennent pas suffisamment en compte les difficultés à se déplacer des handicapés et des personnes à mobilité réduite en général. Les conférences-débats qui seront données aux étudiants et enseignants
en janvier 2001 sur ce thème, leur permettront de mieux connaÍtre le phénomène
de la mobilité réduite face à la circulation en ville. |